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Bulletin N°21 : mars 2018

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Bulletin N°21 : mars 2018 Empty Bulletin N°21 : mars 2018

Message  Patrick BOURAINE Mer 1 Nov - 4:16

Idem, j'ai repris ton message :

Il en faudrait au moins un autre, si Claire pouvait se pencher sur "N'y perdons pas notre Latin"...

A reporter pour N° suivants :

- Pierre Sedum Oxypetalum.
- Yasmine Brat, article rosier (report du N°19). Photos à faire au printemps et aussi des fruits en ce moment. IMPORTANT pour l'article
- Hellébores, si Serge améliore l'article. (Claire ?)
- Palmiers à Foix, G. Labatut, après élagage par Claire.
- Pierre : Suite AG Sète, Tillandsia visite de Tillandsia Prod puis T. bergeri dans le Var, photos Patrick.
- Pierre : Eucalyptus champions du froid (complété après lecture colloque international)

Aucune nouvelles des rhodos bretons ni passiflores...

J’ai vu en faisant des recherches un article de Yasmine sur les écorces, mais nous n’avons pas de photo ? C’est peut-être le moment d’en prendre avec l’automne.
Peux-tu lui en reparler ?


Le voici :

Végétaux à écorces décoratives pour sol calcaire en zone méditerranéenne.
De Cédric Piolet à la pratique.
Yasmine Brat, 23 octobre 2016.
Et un topo improvisé sur les écorces décoratives résistantes au calcaire, en l'honneur des moines et grâce au temps pluvieux, je l'avoue.

Si je connais le bouquin de Cédric Piolet ? Et comment ! Je guette ses photos dès qu'elles sortent, toujours dans l'idée de m'en inspirer pour des peintures, activité qui me sera peut-être à nouveau permise si un jour j'en ai le temps (jambe cassée par exemple,...mais est-ce bien souhaitable ?).
Hélas, les arbres photographiés sont souvent gourmands en eau, très souvent frileux, et encore plus souvent calcifuges.
Comme certains faits sont bien difficiles à admettre, j'ai voulu faire ma propre expérience. Grand bien m'en a pris car finalement j'ai quelques résultats intéressants, sans parler de ceux qui, bien observés, m'ont surprise et ont révélé une très belle écorce alors qu'ils n'étaient pas spécialement connus pour cela, il y en a beaucoup.

Ma petite sélection :

Les érables "peau de serpent" : Sans hésitation, je conseillerais d'abandonner les capillipes, et les rufinerve, il détestent le calcaire, le soleil, le vent chaud. Par temps chaud, si on ne les arrose pas, ils brûlent, et si on les arrose , ils attrapent la verticillose, si l'écorce prend le soleil, elle fend et noircit,  je n'ai eu que des échecs et la chlorose gâche leurs couleurs d'automne.
Cultivés dans un sol neutre, voire très légèrement calcaire, drainé, léger, un peu ombragé, très sec mais sans cailloux, j'ai bien réussi avec la famille des davidii, pour les variétés suivantes:
- davidii ssp grosseri hersii (belle écorce vert vif veinée de blanc pur, prenant au printemps des lignes presque turquoise), feuillage jaune orangé lumineux en automne. Belle pousse mais un peu de chlorose cette année, il arrive aux gros rochers du sous sol, l'écorce est toujours aussi belle.
- davidii "serpentine", je le trouve épatant, son écorce verte et blanche est jaspée de rouge vermillon et me console de ne pouvoir cultiver capillipes, il est petit et compact, ce qui me permet de le faire ressortir sur un fond de persistants foncés, les feuilles sont orange clair brillant en automne. Il ne supporte aucune humidité stagnante quelle que soit la saison, j'ai construit une toute petite butte pour protéger le collet, une fois installé, il tient remarquablement sans aucun arrosage.

L'acer griseum : Contre toute attente, il pousse à merveille, sur ...un tas de cailloux au sec, alors que j'ai eu un échec dans une bonne terre, mais ... au soleil. Donc, ne pas croire la littérature, il s'implante bien dans le sud, dans de mauvaises conditions, si à mi-ombre. Pousse lente, écorce frisée de rouleaux cannelle, splendide couleur automnale d'un rouge éclatant !

L'acer campestris: A ne pas oublier car son écorce liégeuse vaut tous les liquidambars, son feuillage jaune d'or à l'automne est précieux. J'ai 2 cultivars intéressants : pulverulentum, éclaboussé de blanc crème de manière irrégulière très esthétique, schwernii qui débourre rouge, et un tout jeune "carnival", panaché de blanc avec une touche de rose au printemps, je cherche désespérément la variété pendula, je sais qu'il existe .

Les fameux betulas: On en reparlera si les moines ont la chance d'avoir des coins sableux (même avec du calcaire), sinon on oublie, le sable (silice super, silice + calcaire marche aussi) est salvateur, autrement même pour le banal verrucosa, il faut un minimum de terre végétale. Oserais-je le dire... où le bouleau ne pousse pas, je mets du tremble. Mais oui, il ne pousse pas que dans les lieux humides, son écorce est bien blanche et si le sol est sec, il drageonne très peu.
Recette pour un spectacle de Noël alsacien dans un terrain horrible : un petit buisson de fragon épineux bien vert aux boules bien rouges sous un joli tremble au tronc bien blanc, cliché à succès garanti là où rien ne pousse !

Les liquidambars: Plutôt costauds en terrain proche du neutre, ce n'est pas ce qu'il y a de mieux en terrain franchement calcaire. Les cultivars de petite taille sont très sensibles, je les ai perdus. Les autres poussent vite et deviennent énormes, donc leurs racines vont très profond, avec eux, on ne peut pas tricher avec son sol. Tout dépend donc du niveau d'alcalinité.

Les prunus: Ici ils marchent bien, sauf "serrula" justement, qui fait beaucoup de bois mort, "rufa" c'est pire! J'ai découvert un cultivar "serrula Jaro", prétendument plus résistant au calcaire, il est jeune, pousse très bien pour le moment, prometteur. J'ai surtout de très grandes satisfactions avec "canescens", son écorce est presque aussi belle que serrula (aussi brillante, un chouya plus claire), la floraison est bien plus belle, aérienne et rosée, la pousse supersonique, 2 ans de plantation et je commence déjà à dégager les charpentières pour tailler une cépée en transparence.
Au printemps, je vais essayer maackii, à l'écorce ambrée, nous verrons...
Ne pas oublier le banal merisier, jamais malade, il se sème tout seul, résiste à tout, son écorce est très rouge, lustrée si on la nettoie, la floraison est très blanche, et les oiseaux raffolent des merises, j'en ai préservé 2 que je trouve magnifiques. Il faut pour un maximum d'effet sélectionner plusieurs branches à environ 1m du sol. Si on le fait plus bas pour obtenir une vraie cépée, les branches meurent les unes après les autres et l'arbre sélectionne d'un seul tronc.
C'est injuste, personne ne le regarde assez : le cerisier de Sainte Lucie, "prunus mahaleb", porte greffe introduit dans le midi lors de la conquête arabe, naturalisé, il adooore le calcaire, les cailloux, le sec. La floraison est parfumée, l'écorce est superbe, anthracite, brillante, mouchetée de crème, le feuillage est coriace et brillant, semi persistant. On en fait tout ce qu'on veut, des boules, des bouquets serrés, il pousse même dans des murailles où je m'amuse à le transformer en pleureur prostré (ça fait beaucoup le pauvre!). Il suffit de dégager le tronc car le petit arbre est si touffu qu'on ne le voit normalement pas.

Les cornus : leurs couleurs flashy les rendent indispensables pour un beau décor hivernal. En sol calcaire, on n'obtient rien  de la famille des alba, même ici où le sol n'est pas énormément calcaire, cela ne donne rien de beau. La famille des sanguinea en revanche, marche très bien, les rouges, les fluos (winter flame,...), et les flaviramea, vert anis, jaune acide, vert fluo, marchent encore mieux car ils tolèrent le grand sec.

Les salix : En rando, le seul arbre que je trouve, noyé jusqu'au cou l'hiver et bien dru en été dans un sol sec et craquelé, c'est le brave petit salix purpurea, plus les conditions sont rudes, plus son bois est rouge et sombre, et son feuillage gris, il est souvent couvert de petites gales vermillon si décoratives qu'on croirait des fruits d'ephedra.
Choisis pour leur feuillage, leur forme pleureuse ou leurs châtons, les saules n'en sont pas moins de beaux arbres pour leur écorce. Les jardiniers du sud les délaissent par peur du manque d'eau, or, il existe de nombreux saules qui se plaisent en terrain sec, et les coloris de leurs écorces sont extrêmement variés. Un exemple : "irrorata", couvert de pruine blanche dès le mois de décembre, on le dirait fait de givre et de glace, il prend de beaux châtons de velours argenté et pousse très bien sans aucun arrosage. On pourrait poursuivre sur les bois oranges, jaune vif, noirs, pourpres, fasciés, tortueux, sans compter les différents châtons... Très tolérants sur le sol, tout ce qu'il leur faut : quelqu'un pour les tailler rudement afin de préserver leur jeune bois bien coloré, si possible à la hauteur des yeux..

Le zelkova : C'est l'orme de Chine, il ne pousse pas très vite, mais aucune sécheresse ne le rebute. Tous ont de belles écorces, mais pour un effet waouh, choisir le zelkova sinica, adulte son écorce s'exfolie en plaques multicolores, un régal, le mien est en haut de talus aride et au vent du nord.

Les tilias : Les tilleuls j'adore, leur parfum est ex-ta-tique, as-tu remarqué le rouge des jeunes rameaux en hiver, en particulier de ceux qui repoussent au pied du tronc et qu'il faut supprimer ? J'en fait de si belles compositions dans de très hauts vases en verre ! L'idée m'est venue de planter un jeune sujet destiné à devenir "têtard", cela changera des saules. Je suis d'ailleurs à la recherche d'un fameux cultivar destiné à cette fin, son bois est orange et rose fluo : "cordata winter orange". Dans ce cas, on oublie la floraison parfumée, faut choisir.

- Le pseudocydonia sinensis: Proche parent du cognassier (qui lui même a une très belle écorce), il a hérité lui aussi d'une grande résistance au sec au froid au chaud et aux terrains difficiles. A l'âge adulte, son écorce est magnifique, elle part en plaques qui découvrent toutes les nuances du vert à l'ocre rouge en passant par le blanc et le noir, seuls les arbutus pourraient le détrôner. Sans parler des ses fruits parfumés d'une taille monstrueuse, et de ses fleurs délicates. Une merveille !

L'heptacodium miconoides : Ultra costaud, un de mes chouchous, parce qu'il est là quand tous les autres se reposent, en pleine floraison mi-août. Son parfum de jasmin est divin, puis restent les bractées florales qui, de loin, ressemblent à des fleurs d'azalée roses. Le bois grossit, devient impressionnant, puis part en grands lambeaux chevelus très décoratifs en hiver.

Les morus : noueux à souhait, très lents à former....aussi pour ceux qui ont l'éternité...

Mais les rubus : voilà du mûrier rapide ! Si ces belles ronces restent de taille arbustive, elles rivalisent de couleurs avec certains salix et poussent vraiment partout : bois blanc de neige et feuilles argentées : tibetanus silver fern, bois blanc de neige et feuillage doré : cockburnianus goldenvale wyego (pour l'ombre celle ci dans le midi), j'ai aussi une inconnue de 3 ou 4m de haut au bois acajou extrêmement brillant et aux jolies fleurs roses.


Et tous les oubliés...
Parce qu'ils ne sont pas toujours dégagés et mis en valeur, certains arbres et arbustes cachent des écorces splendides.

- L'orme champêtre, prendre un "résista" bien entendu, ou un bébé de la forêt comme je l'ai fait, ceux qui poussent spontanément aujourd'hui sont les descendants des résistants à la graphiose. Après le chêne, c'est lui le roi du liège Chez lui tout est beau: floraison hivernale jaune primevère, samares rose crevette, feuillage..

- Autre "hyper liégeux" facile et tolérant : Euonymus alatus. Rose fuchsia incomparable en automne, à choisir en "compactus" pour plus d'effet encore.

.- Le hêtre : Ne soyons pas blasés! On trouve d'innombrables variétés de hêtres, tous résistants au calcaire, tous plus beaux les uns que les autres, mais ce n'est pas une raison pour ne contempler que leur feuillage, car sur leurs troncs si droits, leur écorce grise aux tâches et aux raies blanches est très décorative. Dans les secteurs où le hêtre a vraiment trop chaud, j'utilise le micocoulier, il est lui aussi droit comme une colonne, son écorce a les mêmes teintes de gris, mais les marques blanches sont bien plus petites et discrètes.

- Les caraganas: chez eux aussi tout est joli, l'écorce vert pistache au printemps, devient d'un beau gris satiné en vieillissant. J'ai des pleureurs, des laciniés, des à fleurs oranges,....

- Les lagerstoemias dont les vieux troncs ressemblent à de la roche polie par l'érosion. Ils aiment les sols drainés mais les anciens cultivars ne sont pas sensibles au calcaire.

- Le lilas de Pékin : Tous terrains, connu pour sa belle floraison estivale, en grands panaches blancs et son délicieux parfum de miel, il a également un jeune tronc puis des branches à l'écorce remarquable, soyeuse et brillante d'une couleur indéfinissable taupe à reflets dorés. Il se sème très bien et pousse très très vite, j'en ai beaucoup donné. Je l'ai choisi dans sa version pendula (qui ne pendule pas trop d'ailleurs, tant pis), et je viens de planter la version à fleurs jaune primevère, superbe.

- Le Lonicera fragrantissima qui s'exfolie lui aussi au fur et à mesure que le bois grossit. Son cousin "maacki" tout sombre et crevassé n'est pas mal non plus.

- Le gleditzia : pourquoi ne choisir que les cultivars à feuillages colorés, ou aux formes tortueuses, tous inermes ? Le févier couvert de ses monstrueuses épines n'est-il pas un peu Chorisia du septentrional ? Les fleurs en moins, c'est vrai, mais il pousse très vite, et il enrichit les sols pauvres comme une luzerne géante.

- Les conifères : De belles écorces aussi chez certains, mais qui souvent préfèrent l'humus. On a des exceptions, je ne reviendrai pas sur le pin Napoleon tu le connais. On connaît bien aussi l'écorce rousse du pin sylvestre. Mais dans les "ordinaires" des jardins, on peut avoir de belles surprises...j'ai dégagé récemment le tronc d'un simple cyprès bleu, déjà gros et vieux, et j'ai été éblouie: des frisettes d'écorce beige sur un fond incroyable rouge bourgogne bien sombre aux reflets violacés. Évidemment tout dépend du temps dont disposent les moines... mais n'ont-ils pas l'éternité.

Enfin pour le dessert : Quelques rosiers:

- Le plus connu de tous les rosiers à bois décoratif c'est notre Rosa sericea pteracantha. A planter à contre-jour et à tailler régulièrement pour avoir toujours ce jeune bois aux énormes épines ailées d'un rouge lumineux translucide et sanglant. Je ne développe pas, j'en ferai un article. Demande toutefois un peu d'eau au printemps pour être vraiment beau.

- Rosa roxburghii normalis. Sa variété à fleurs doubles commence à se répandre un peu, mais peu connaissent le roxburghii botanique, bien différent. Il pousse à la hauteur d'un arbre, les gros troncs de bois gris pâle s'exfolient en grands lambeaux sur des aiguillons dignes de masses d'armes. L'hiver c'est un incroyable squelette un peu blanchi qui semble dressé dans la mort, et qui revit au printemps en se couvrant de petites feuilles de fougère, puis d'immenses églantines aux pétales ondulés comme des papillons (d'un rose pâle plus crémeux près des étamines), ensuite de grosses bogues de châtaignes forment les fruits. Tolère bien le calcaire, supporte tous les terrains, le soleil, la mi-ombre, adore le sable un peu humide, pousse également au très sec, mais très lentement.

- Rosa "Thérèse Bugnet". C'est un hybride de rugosa qui ne chlorose pas du tout en situation calcaire, adore l'eau mais tient bien au sec. Je l'ai choisi car ses grandes roses pleines, de forme ancienne, sont très parfumées et sont d'un beau rose vif lilacé, mais surtout ici parce que son bois fin inerme et souple se colore de rouge vif dès les premiers froids.
Au jardin je l'ai associé à la forme à fleurs simples et crème du keria dont les rameaux fins sont vert pomme en hiver.

Beaucoup d'autres rosiers botaniques ont des charpentes, des bois, ou des épines intéressants, ils nécessitent tous de la place car ils s'étalent beaucoup, ce sont parfois d'immenses lianes, parfois presque des arbres...

Voilà pour tes amis moines, ce qui m'est venu tout de suite à l'esprit, mais j'en ai sans doute oublié beaucoup plus, cependant quand ils auront planté tout ça, ce sera déjà un bon début.

Une inconnue quand même, les températures estivales. Nous sommes souvent ici dans la Drôme, au coude à coude avec Nîmes pour les records en période de canicule, mais concernant la température moyenne habituelle en été, nous devons être en dessous de l'Aude, essentiellement parce que nos nuits sont bien fraîches en été.
Patrick BOURAINE
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Message  Pierre Bianchi Sam 11 Nov - 6:25

Merci. Il faut noter l'article écorces pour automne/hiver 2018 (N°24), j'en reparlerai à Yasmine l'été 2018. Quand elle en a le temps, elle écrit facilement et bien, elle nous dira si elle retouche le texte ou non.

Sommaire prévisionnel du N°21 et articles dispo ou qui le seront.

-Sedum oxypetalum, ou Tillandsia Prod, Pierre.
-Eucalyptus champions du froid, Pierre.
- Pavonia, JJV.
- orchidées épiphytes en Bretagne, Y.Le Guen
- réponse Patrick sur racines troncs de palmiers à Jacques,
- autre article P.Bouraine.

En réserve et à écrire :

- Pierre Quillier, article historique.
-Gérard Jean, Telopea.
-Anselme, Erythrina c;g fleurs blanches, du rêve à la réalité, une belle coopération.

A illustrer et plus moins compléter l'article :
-Ecorces pour égayer le jardin l'hiver, Yasmine Brat.

Pierre Bianchi

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